Lorsque je sors pour rejoindre ma voiture et me rendre au
centre équestre, une pluie fine commence à tomber. J’espère alors qu’il ne
s’agit que d’une petite averse et me mets en route. Une fois au club, la pluie s’est
un peu accentuée. Nous choisissons avec mon moniteur le cheval que je pourrais
monter en mise en selle si la météo se montre plus clémente ou si nous sommes
suffisamment courageux pour monter sous les averses : ce sera Nika.
Elle est déjà montée, je regarde le cours dans lequel elle
évolue en attendant de savoir si nous aurons nous aussi une séance. Mes
camarades de reprise sont motivés, moi aussi, je récupère donc ma jument, lui
laisse l’occasion de manger un peu de foin en attendant que tout le monde soit
prêt et nous rejoignons la petite carrière où nous nous mettons rapidement en
selle afin que celle-ci ne soit pas trop trempée lorsque nous y poserons nos
fesses.
On se met alors au pas pour commencer la détente, puis au
trot. Cette détente se déroule bien, même si Nika a, dans un premier temps, un peu de mal à répondre à mes demandes d'allongement, mais rapidement, elle comprend ce que j'attends d'elle.
Nous poursuivons avec quelques tours de galop, j'ai une jument qui reste globalement dans une allure assez agréable, sans grosses accélérations dans les longueurs de carrière.
Nous pouvons ensuite attaquer la mise en selle : nous alternons dans un premier temps trot enlevé, trot assis et équilibre au trot. Pendant toute cette phase, je m'attache à trotter sur le bon diagonal, mais également à trouver la posture adéquate pour trotter assis de manière confortable sans gêner la jument en rebondissant sur son dos. Pour cela, je laisse les rênes un peu lâches afin de ne pas m'accrocher à la bouche de la jument en essayant de tenir une position, je parviens par moment à bien accompagner le trot de Nika, mais ça ne dure jamais très longtemps...
Nous poursuivons avec quelques tours de galop, j'ai une jument qui reste globalement dans une allure assez agréable, sans grosses accélérations dans les longueurs de carrière.
Nous pouvons ensuite attaquer la mise en selle : nous alternons dans un premier temps trot enlevé, trot assis et équilibre au trot. Pendant toute cette phase, je m'attache à trotter sur le bon diagonal, mais également à trouver la posture adéquate pour trotter assis de manière confortable sans gêner la jument en rebondissant sur son dos. Pour cela, je laisse les rênes un peu lâches afin de ne pas m'accrocher à la bouche de la jument en essayant de tenir une position, je parviens par moment à bien accompagner le trot de Nika, mais ça ne dure jamais très longtemps...
Nous effectuons quelques cercles puis enchaînons avec des transitions trot/galop pour pouvoir par la suite travailler sur du galop enlevé, assis ou en équilibre.
A main droite, Nika accélère, j'essaie donc de la ralentir pour tenter l'exercice dans les meilleures conditions, mais sans grande réussite. A gauche, c’est beaucoup mieux, elle est dans un galop calme et bien cadencé, j’essaie donc de tenir l’équilibre et de galoper enlevé (j’ai un peu du mal à contrôler mes mouvements pour ne pas retomber un peu trop lourdement dans la selle après avoir eu la sensation de décoller. Je dois donc veiller à mieux gérer tout ça).
A main droite, Nika accélère, j'essaie donc de la ralentir pour tenter l'exercice dans les meilleures conditions, mais sans grande réussite. A gauche, c’est beaucoup mieux, elle est dans un galop calme et bien cadencé, j’essaie donc de tenir l’équilibre et de galoper enlevé (j’ai un peu du mal à contrôler mes mouvements pour ne pas retomber un peu trop lourdement dans la selle après avoir eu la sensation de décoller. Je dois donc veiller à mieux gérer tout ça).
Finalement, nous marchons pour faire souffler nos monture, dessanglons, mettons pied à terre et allons
vite nous mettre à l’abri et donner un bon coup de brosse pour sécher au maximum
les chevaux
Bilan :
Une séance humide et froide, mais nous sommes partis du principe
qu’en balade, s’il se mettait à pleuvoir, nous serions bien obligés de
continuer à monter. Malheureusement, la pluie présente un certain inconvénient (outre le fait qu'on soit trempé et qu'on ait froid) : elle rendait les étriers un peu
glissants (la boue présente sous mes chaussures après avoir fait 3 mètres dans
la carrière recouvrait l’essentiel du grip de leurs semelles), ce qui était loin d'être confortable.
J'ai constaté du mieux sur le trot assis, j’ai essayé d’accompagner au
mieux le mouvement de la jument mais je ne parviens pas à tenir très longtemps. En revanche, pour tenir l’équilibre, ce n’est pas encore ça, et je suis obligée de m'équilibrer grâce à la crinière de ma monture, mais j'ai l'impression qu'il y a malgré tout eu quelques petits progrès.
Aucun commentaire
Enregistrer un commentaire